Recueil de Nouvelle

Un rire

«Dans tous le monde entier, jamais personnes n'avaient entendu parler d'un homme comme moi.»

«J'étais issu d'une famille noble. Nous étions l'une des plus riches de Londres. Je n'avais que dix-huit ans, mais déjà j'adorais me coller à une jeune femme nue: de sentir ses seins voluptueux et doux contre mon corps me faisait un de ces effets. Cependant elles ne couchaient avec moi que pour mon argent et aussi pour ma beauté. Une rumeure courrait dans les rues de Londre disant que j'aportais le malheur au autre, car à chaque fois qu'on me voyait avec une femme on la retrouvait morte éventrer au petit matin. Plusieurs personnes croyaient que c'était Jack l'Éventreur -à mon avis ceci était tout à fait faux- et le reste du monde croyait que c'était moi -ceci était un bien plus gros mensonge. Au XVIIIe siècle,cela était plutot courant de retrouver des prostitués mortes. Mais là, des bourgeoises retrouvées mortes. C'était assez louche, à mon avis.»

«Je venais tout juste de sortir d'un bar d'opium, je vis au loin une femme au longs cheveux blond bouclés et une poitrine charnel comme je les aime tant. Je m'approcha d'elle je lui fis la cour -bien courte à mon avis, car elle se donna à moi sans tarder. Nous fîmes l'amour tout la nuit et lorsqu'elle s'endormi, la commisure de mes lèvres se raffermir pour former un rictus sadique. Après se fut le néan total. À l'aube j'avais repris consience et le corps de la femme était encore collé près de moi, mais je ne sentais plus son coeur battre. Elle était recouverte de sang, ses yeux étaient arrachés, son ventre était incisé des ses seins jusqu'à ses poils pubien. On pouvait voir tout ses organes vitaux resortir. Pourtant, ce n'était pas moi qui avait fait ça. C'est alors que j'entendis dans ma tête quelqu'un rire. Un rire cruel.»

«Le bruit du vent qui causait une divergance de son dans mon oreille.»

Le bruit des branches et des feuilles sèches qui craquent sous le poid de mes pas.

Je n'ose regarder derrière moi, car je crains qu'il soit toujours là. Mon coeur bas à une vitesse folle. Ma respiration se fait lente, j'aimerais disparaître ou même oublier. Tout ce que j'ai vu, depuis le début de cette vie lugubre, fut la guerre. Pourquoi l'homme cherche-t-il à tout contrôler?

J'entends ses pas se raprocher. Une panoplis d'arbres défilent sous mes yeux. Je veux fuir le plus loin possible. Je tournes à droite, puis à gauche. Devant moi des silhouettes se forme. «Je veux vivre», voilà ce que je me dis à ce moment là!»

BANG!

«Le néan. Une lumière blanche recouvre mes paupière close. J'entend des voix, mais je ne comprends pas ce qu'elles disent. Mon corps est chaud. J'essai de faire bouger mes membres. Le petit doigt de la main gauche. Mes orteils. Rien pour le moment ne bouge. Je ne sens même pas le souffle de ma respiration. «Suis-je en vie?» Les voix qui étaient loin il y a quelque instant se rapproche, je distingue enfin des paroles.»

«Huile? Pourquoi ont-ils besoin d'huile? Je préfère tout oublier. Cette fois je laisse l'Homme ganier, mais la prochaine fois que je reprendrai possession de ce corps.. Je me jure que je les turai!»

«Je bouge enfin un bras, j'agrippe le cou de la première personne que je sens. «Je jure que je vous détruirai!» Mes yeux s'ouvrent et je vois le monde d'une douce couleur sang!»